# ssbsong2      /      # Skins : Indians | Rose | Rouge

vendredi 28 mars 2008

Personnel

A year from now, it'll be okay
a year from now, I'll know what to say
something that means more, I pray, than
"Time will heal our wounds"

A year from now, I'll stop keeping score
a year from now, my heart won't be so sore
but God, it's stinging to the core
next year can't come too soon

Every hour feels like days
as we build back what we threw away
it's feeling better...


A year ago, we stumbled along
through the haze in a maze of all that went wrong
a year ago we felt no pain
we only felt afraid...

By this time next year, the nightmares coul stop
and next year I just might be able to drop
the guilt I've carried as a prop
a year from now, you'll see

All these tears will help someday
to grow back what we let decay
it's feeling better every day

jeudi 28 février 2008

Blanche... entre autres

Long time no see.
Un moment de libre, un moment volé. Le blog est un jeu de chômeur. Je passe comme ça sur les traces de ce qui occupait les longues journées de la fin de l'année 2007.
Je viens de finir mon Tom Collins des familles. Sur la platine, le son doux à mon oreille de Little amber bottles le dernier album de Blanche, et cette étrange impression que Julian Cope vient de faire un album de reprises de Lee Hazlewood. Cet album est un pur bonheur.


Mardi soir dernier, j'écoutais Lenoir et en entendant un morceau en avant-première du prochain album d'Isobel Campbell et Mark Lanegan je me disais que, même mort, c'est encore Lee Hazlewood qui signe les meilleurs albums en ces temps difficiles. Je ne pense pas que le prochain album de Tindersticks viendra me contredire.
La plus significative influence sur la bonne musique d'aujourd'hui ?
Lee. Sans aucun doute possible.

Bien cordialement... Suckers

mercredi 16 janvier 2008

2008 is a punk

mardi 25 décembre 2007

Bloody Xmas

Nous sommes le 25 décembre, le jour de Noël donc. Je suis en train d'écouter My Bloody Valentine et je me sens assez seul sans ma Friandise de Noël. On est toujours un peu plus seul les jours où les gens sont censés se retrouver en famille. Mais c'est pas trop la déprime au fond. C'est l'occasion de penser aux gens qui comptent et qui sont loin : aux USA, en Malaisie, à Lisbonne, au Pays Basque (ou en Alsace ?), à Bruxelles, dans le sud de la France ou dans les montagnes... A ceux qui sont à Paris aussi.

Alors puisque j'écoute ce groupe mythique, en partie pour fêter l'annonce de sa reformation, une petite vidéo de My Bloody Valentine envoyée par une de ces fameuses personnes.

Joyeux Noël !

vendredi 7 décembre 2007

Au-delà des fumées


Ce matin, au sortir de mon immeuble, je suis tombé sur un chantier. Les ouvriers étaient en train de couler du goudron pour combler la tranchée sur laquelle ils travaillaient depuis plusieurs semaines. L'odeur du bitume chaud et fumant est passée directement de mes narines à un coin reculé de mon cerveau et a réactivé ma mémoire. On connaît le potentiel d'évocation des odeurs et les sollicitations qu'elles envoient directement à nos neurones faisant ainsi remonter des vrais morceaux de vie entiers, comme dans les yaourts. L'odeur du goudron chaud est la même exactement que celle que dégageait la pâte à modeler avec laquelle je jouais enfant. Une époque ou on etait sans doute moins soucieux des produits que manipulent les bambins. Une sorte de bain de jouvence, pas d'image claire mais une sensation qui prend le corps entier et rafraichit les cellules tout en faisant mesurer le temps écoulé.

Et hop, la photo du papa diplomate :

jeudi 22 novembre 2007

Reader's digest


Comme le temps passe. Trop d'activités, trop de distractions... et pas de post depuis quelques temps. Activités ? Et bien en vrac, sans hiérarchie : une passion soudaine pour les compotes pommes/poires maison qui me garde en cuisine et à laquelle s'est ajoutée la préparation de soupe de légumes. Ca change de Liebig. Une vidéo en cours de montage, une affiche, une compilation pour une soirée parisienne à venir. Vous en saurez plus très bientôt. Les grèves et la chanson de Miossec qui me trotte souvent dans la tête ces jours derniers on était tellement de gauche... La préparation d'une invitation pour le 31 décembre à la maison et l'épluchage de catalogues à la recherche des meilleurs produits au meilleur prix.
Tout ceci n'est pas une excuse, certes non. M'enfin nous avons tout de même, ma sparing partner et moi, trouvé le temps d'aller voir le film de Gus Van Sant. Est-ce que le nom de Christopher Doyle, que j'ai capté au générique d'ouverture, m'a mis dans de bonnes dispositions ? J'ai trouvé le film vraiment très beau, très subtile. J'ai aimé les images hypnotiques de skate, j'ai aimé le jeu avec la narration et j'ai aimé entendre la voix d'Elliott Smith. Je vous le recommande. Au fait, Christopher Doyle est, entre autres, le directeur photo de Wong Kar-Wai.

vendredi 2 novembre 2007

Je vous ai fait peur ? Je suis désolé.


Impossible d'écrire quelque chose de pertinent. Juste cette phrase qui revient, comme une ponctuation, dans Infernal Affairs III:
Je vous ai fait peur ? Je suis désolé.

I


II


III