# Accueil

# ssbsong2      /      # Skins : Indians | Rose | Rouge

jeudi 23 août 2007

Une fois n'est pas coutume

Une photo de moi.

Hazlewoodism - Le T-shirt

En hommage à Lee Hazlewood, je me suis fait un T-shirt. Un tour sur internet, une belle photo, un peu de photoshop, un bon coup d'illustrator... et hop.
Si vous êtes fan, vous pouvez télécharger le fichier (114 ko) et vous rendre dans une boutique spécialisée proche de chez vous pour vous faire votre T-shirt "Hazlewoodism".

Il ressemble à ça :

On a les héros qu'on mérite - Les réponses

J'ai mangé tous les Mister Freeze. En plus, par le temps qu'il fait, c'est pas tentant.
Personne n'a trouvé les bonnes réponses. Les voici :


Winnetou


Dick Turpin
Dick Turpin


Jack Vincent
Jack Vincent (Les Contrebandiers)

lundi 6 août 2007

Lee Hazlewood est mort

Que de morts célèbres en ces mois d'été ! Que de noms entendus à la radio ! Que d'hommages ! L'émotion ne se divise pas, certes, mais tout ce bruit et pas un mot sur Lee. Lee Hazlewood est mort samedi 4 août. C'est ma Debbie Harry Potelée qui me l'apprend. Pas un mot, pas un hommage, pas une chanson sur les ondes. Dimanche soir, ignorant encore la chose, j'ai tondu ma barbe et n'ai gardé qu'une moustache... Drôle de sensation. Drôle de vide. Immense.

Gai comme un italien...

Où : (La bella cucina de) la Bocca, 59 rue Montmartre 75002 Paris
Quand : samedi 20h
Qui : Ma Debbie Harry Potelée et moi-même
Apéro : MDHP : Ricard / Moi : bière italienne (dont j'ai oublié le nom)
Entrée : bruschetta et calamars frits (posez au milieu on va partager)
Plat : ravioli à la truffe blanche et aux pleurotes (c'est rare mais parfois on prend la même chose)
Vin : rouge italien (dont j'ai oublié le nom)
Dessert : MDHP : salade de fruit / Moi : tiramisu
Cadre : agréable
Accueil et service : simple et sympathique

Soirée : parfaite !

jeudi 2 août 2007

Fêlure à la radio

Mercredi 1er août, France Inter, flash de 11h. La présentatrice commence son monologue. Quelque chose ne va pas dans sa voix. Elle parle vite, elle respire fort. Quelque chose dans sa gorge semble coincé mettant dans sa voix des trémolos. Il y a comme une fêlure. Les informations, la mort d'un gamin tombé d'un toit, les 69 morts en Irak, les sans-papiers à Lille, se teintent d'une intensité peu courante. J'appelle ma Debbie Harry Potelée pour lui faire partager mon émotion. "Elle pleure" me dit-elle, et s'éclipse avec pudeur, embarrassée par le sentiment d'assister à une scène intime. Quand à moi, je ne sais si c'est une tristesse personnelle mais cette vibration donne chair à ce qui est dit.

L'explication viendra plus tard. L'animatrice s'est trompée de studio et a traversé toute la maison de la radio pour se rendre au bon endroit. Elle ne pleure pas. Elle cherche son souffle, à se remettre de sa folle course. Pas de regret pourtant, mon émotion à moi était bien réelle.